Sarkozy : seize mois et demi après son élection, déjà la fin de mandat du président fainéant
Attendu que j'avais beaucoup mieux à faire, hier soir, que d'écouter les dernières bouffonneries agréées par le "cerveau" de Nicolas John Sarközy Wayne de Nagy-Bocsa, je n'ai suivi (en serrant les poings) que quelques secondes des minables paillasseries d'un président dont le mandat s'est terminé le soir même : qu'on se le dise, en effet, si l'on avait encore à déplorer des choses qui ne tourneraient pas rond en France demain, alors Nicolas Sarkozy n'y serait absolument pour rien !
Par pure bonté d'âme et par amour pour la morale et le boulot, toutefois, môssieu condescendrait à creuser davantage la dette pour rendre aux Français de l'argent qui leur appartenait, avant qu'on le dilapide.
J'en ai déjà vus, des vermisseaux, mais alors de ce calibre...
Si jamais quelqu'un va à la pêche, qu'il me débarrasse de ça et qu'il le jette à l'eau pour nourrir un poisson larviphage, svp.
Plus de 2 millions de travailleurs pauvres avec et sans enfants, avant une pseudo crise qui n'a jamais rien eu à voir dans l'explosion de la précarité et de la pauvreté en France. Projet(s) sérieux de Nicolas Sarkozy pour résoudre ce "léger problème" au cours des 43,5 prochains mois : néant.
20% des Français en âge de travailler en recherche permanente d'un emploi ou d'un nouvel emploi (pour fuir un temps partiel non choisi qui ne rapporte rien, par exemple). Projet(s) sérieux de Nicolas Sarkozy pour résoudre ce "léger problème" au cours des 43,5 prochains mois : moins que rien.
Au cours des 10 dernières années, les missions d'intérim auraient augmenté de 130%, les CDD de 60% et les CDI de 2% (on n'ose même pas parler de la durée ni des conditions inacceptables proposées dans les nouveaux contrats). Projet(s) sérieux de Nicolas Sarkozy pour résoudre ces "légers problèmes" au cours des 43,5 prochains mois : inférieur(s) à que dalle.
Eradication de la notion de service public élevée au rang de religion, par endroits compensée par le maintien de certaines catégories de fonctionnaires dont un nombre toujours croissant reçoivent pour "ordre" de faire sortir un maximum de bénéficiaires des listes qu'ils gèrent. Projet(s) sérieux de Nicolas Sarkozy pour résoudre ces "légers problèmes" au cours des 43,5 prochains mois : supprimer plus de 30.500 emplois dans la fonction publique en 2009.
Je réitère donc ma demande : foutez-moi ça à l'eau.