A peine entrée dans le commandement militaire intégré de l'OTAN, la France déjà risée des autres lèche-culs ?
Mince, ce n'est décidément pas de chance pour Nicolas Sarkozy, ancienne copine de George qui ne jure déjà plus par Barack, ce hors-bord sans moteur qu'il faut vite torpiller pendant qu'il a déjà de gros trous sous la ligne de flottaison (yerk-yerk !) : à peine deux jours après que le touriste à platform shoes ait annoncé le retour de la France dans le commandement militaire intégré de l'OTAN, après quelques 43 ans d'absence, la France se tourne en ridicule en annonçant que son unique porte-avions nucléaire, le Charles de Gaulle, fleuron de l'aéronavale frenchie avec son pont d'envol trop court et ses hélices qui cassent comme du balsa, est ENCORE en panne !
Cloué au quai pour une durée qu'on aimerait bien convertir en semaines, mais qui risque, malheureusement, de plutôt se mesurer en mois (NDR : quitte à se payer la honte) !
Hmmm, "malheureusement", avez-vous dit ? On n'en est pas si sûrs.
Réfléchissons : problème de propulsion on ne peut plus nébuleux mis à part (d'après les journaleux, en gros, les marins du Charles ne pourraient même plus ronfler sur le pont d'envol sans être incommodés par des vibrations, dues à l'usure anormale de pièces d'accouplement reliant deux des quatre turbines du plus gros jouet du président de la République), on se souvient en effet que dès sa campagne, Nicolas Sarkozy avait affiché une volonté très ferme de doter la France d'un second PAN (porte-avions nucléaire), ceci afin d'éviter qu'en cas d'indisponibilité du Charlot, la nation ne se retrouve baissée les fesses à l'air devant un ennemi dont on ne sait pas encore de qui il pourrait s'agir, mais dont par contre on est certains qu'il existe (fa f'appelle la ftratévie militaire de défenfe) !
Bon sang mais c'est bien sûr : si le Charles reste à quai comme une baleine crevée, alors cela démontrera aux foules (ébahies) que Nicolas avait raison, quand il gueulait qu'on, enfin "le contribuable", devrait retourner ses poches pour offrir un second PAN à la Nation, car enfin... Voilà ce qui arrive, quand on n'écoute pas les prédictions de Nicolostradamus !
Comme claironné par lui, auquel on avait demandé de lever la talonnette sur le sujet, parce que le pays n'avait plus un patard à engloutir dans ce genre d'inepties, la République se trouve maintenant baissée et les fesses à l'air, à la merci, militaro-sarkozyquement parlant, du premier envahisseur venu qui voudrait nous reprendre l'Alsace et la Lorraine en contournant la ligne Maginot (rappelez-vous : il y a des soldats boches là-bas depuis quelques semaines) ! OUPS... Euh, quelqu'un qui a une bonne pelle pourrait-il aller voir si Guderian et Rommel sont toujours enterrés, SVP ? Ah non, oh pardon, j'oubliais... Le Charles de Gaulle ne flotte pas sur la terre (ni sur la mer non plus, mais qui sait, à force de le remplir de biftons, peut-être pourra-t-il voler un de ces jours sous nos pieds ?) !
Comment Nico va-t-il nous torcher tout ça ? C'est le point qui reste à élucider.
Et gnagnagna et gnagnagna, il faudra que la France joue à plein son rôle de MOTEUR à vingt-quatre soupapes et triple arbre à cames en tête dans la défense pansarkeuropéenne (!) ; et gnagnagna et gnagnagna, de toutes façons, vu la nature des conflits modernes, il faut ABSOLUMENT qu'on ait DEUX PANS, pour pouvoir toujours aller foutre sur la gueule d'éventuels canards à barbe qui voudraient faire péter des trucs dans nos stations de métro (salauds) ; et gnagnagna et gnagnagna, un PAN, c'est un investissement sur le long terme, et seul mon nom à moâ, Nicolas, pourrait être digne d'être peint en blanc sur l'étrave du navire (oui, ça se fera de mon temps), rappelant aux générations futures que "sous moâ", j'avais été le seul qui ait les cojones de s'arracher le foie et la rate pour faire aboutir ce projet sublime, admirable pour les Français ; et gnagnagna et gnagnagna, pépé Serge, y faut bien qu'y mange et pis qu'y s'achète des alèses pour garder le cul au sec, alors y nous faut un truc pour faire apponter ses merdes volantes, même si personne d'autre que pépé Serge n'en a jamais vu l'utilité, ni dans l'armée de l'air ni dans la marine ; et gnagnagna et gnagnagna, si l'on ne fait rien, si on ne les fait pas plier à coups de myards d'euros dans la gueule dès le début, les Rosbifs, ils vont coloniser la Manche, et se mettre à vendre du pudding aux Normands sur des barges flottantes depuis lesquelles, vous verrez si j'ai pas raison, ils finiront un jour par faire un remake du 6 juin 44, mais violant nos compagnes et égorgeant nos fils (féroces Rosbifs), sous les yeux de croulants sans défense qui seront tous dépecés vivants ensuite !
Ca va y aller, les gnagnagnas !
En tout cas, c'est MAM qui doit être soulagée : la, ou les catapultes qu'elle s'était empressée de commander aux Ricains, moyennant quelques centaines de kilomètres de peaux de testicules de contribuables bien Franchouillards, juste avant que Chirac ne débarrasse son bureau (Jacques ne voulait pas qu'un exaspérant médiocre comme Nicolas puisse faire n'importe quoi avec la Défense), vont enfin servir à quelque chose (NDR : bé ouais, même si en fin de compte, elles ne serviront jamais qu'à propulser les merdes volantes de pépé Serge et d'autres plus grosses et encore plus vieilles, les fameuses catapultes de MAM) !
Pour le reste, on fait comme d'habitude, à savoir on ferme ses ouies ; de toutes façons, on aura bien le temps de voir si le populo nous en chie une pendule en merisier (NDR : extrêmement douloureux, la pendule en merisier).
Oh puis au fond, si jamais les Français foutaient le feu à l'Elysée, si jamais ils cassaient la gueule de Nicolas Sarkozy parce qu'un jour, ils en auront définitivement marre, qu'on les prenne pour des pourceaux tout juste bons à être saignés, marre qu'on ronge jusqu'à l'os tout ce qui leur reste de couenne sur le dos, ben les catapultes de MAM pourront toujours servir à éparpiller ce qui restera du petit, et du gouffre sans fond que n'aura jamais cessé d'être le Charles de Gaulle... Un "machin". Exactement à l'image de son paternel, qui "comprenait" tout le monde, toujours prêt à ramener sa fraise depuis Londres quand il parlait à Paris, toujours partant pour envoyer les gamins des autres se faire éparpiller dans des pays de sauvages, de païens dégoûtants ne croyant même pas dans la supériorité évidente du camembert sur toute autre forme d'alimentation mais jamais là, par contre, pour se bouger les nageoires quand il fallait aller patauger dans le merdier ! 'n'avait pas gagné ses galons le flingue à la main, le Charles (il est mort avec un seul trou de balle, d'ailleurs) !
Improbables grandes gueules... Inimitable génie français ! C'est pas tous les jours quand même, qu'on voit des trous (à pognon) flotter sur l'eau, même si dans la marine la plus comique du Monde, ça s'est vu couramment depuis la mort du vrai Charles.
Les marins, je vais vous dire, de toutes façons, ce sont tous des couilles flottantes. La première fois qu'on leur demandera de lancer un véritable "engin", ils raseront absolument tout ce qui se trouve entre Reykjavic et Pretoria (au moins)... Z'ont toujours porté des casquettes qui ne filtraient pas les UV, idem pour les pompons. Ils adorent ça, ces oisifs qui connaissent tous les bars à putes de chaque port, les rafiots qui rouillent par grappes de douze à Toulon. Pépé Serge aussi, il adore ça, parce que sans des conneries comme le Charles, le Rafale, ben tous ses plans ils auraient été jetés dans des chiottes turcs depuis un bon vingt-cinq ans.
Le Charles est encore en rade ? Eh ben... A la tienne, pépé !
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