Toujours en vie ! Et pas en marche.
Bonjour Evelyne, bonjour Bonbon, bonjour Toto, bonjour olaf, Pico, Stéphanie, mimi, Nana (ne baissez pas les bras surtout) et tous ceux qui m'ont fait l'honneur de revenir consulter ce blog qu'un jour, j'ai lâchement abandonné pour une raison très simple... Ce n'était pas la meilleure des raisons, sans doute, car je n'arrive pas à trouver de bonne raison pour abandonner une "chose" comme un blog, qu'en tant qu'auteur on remplit un peu comme un enfant que l'on nourrit au sein, mais toujours est-il que j'ai tout simplement "arrêté" de le tenir à jour parce que je n'y arrivais plus.
Trop mal, tout le temps, entre la douleur, les effets divers et variés des médicaments et surtout l'incapacité à travailler, l'oisiveté forcée qui en découle et qui m'a toujours rongé, lentement mais sûrement, sans parler bien sûr des tas de soucis plus ou moins gros, quotidiens ou qui durent dans le temps et qui se greffent sur tout le reste, mais chacun connaît cela n'est-ce pas, bon bref, un jour je me suis dit "STOP. Je ne peux plus." Et ça a été aussi simple que ça. Une sorte de burn-out du blogueur, quoi, cette incapacité opposée à cette envie de continuer, de briller (on ne sait même plus bien pour qui au bout d'un moment : pour soi ? pour les autres ? parce qu'après tout, il est peut-être vrai que ce que je fais plait à quelqu'un ?), qui se heurte toujours à la nécessité de trouver de la matière, des choses qui nous inspirent, dont on a envie de discuter avec d'autres, etc.
Mais nous n'allons pas passer la journée à parler de moi, qui suis un sujet de si peu d'intérêt alors qu'autour de nous, par la volonté du nouveau président élu comme ils disent dans les médias, les têtes coupées volent en tous sens dans le ciel, les vestes et même les tailleurs se retournent en virevoltant comme par magie avant de retomber sur les épaules de leur propriétaire, sans parler bien sûr de toutes ces torpilles lancées de tous côtés et dans toutes les directions, qui frappent un peu au hasard, brisant parfois en deux un navire qui au départ n'était visé par personne... Quelle folie !
Il y aurait tant à dire... Autant, donc, vous poser la question à vous, chères lectrices, chers lecteurs : de quoi aimeriez-vous que nous parlions ?