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Poliblog indépendant

12 mai 2017

Toujours en vie ! Et pas en marche.

MK48-CBASS

Bonjour Evelyne, bonjour Bonbon, bonjour Toto, bonjour olaf, Pico, Stéphanie, mimi, Nana (ne baissez pas les bras surtout) et tous ceux qui m'ont fait l'honneur de revenir consulter ce blog qu'un jour, j'ai lâchement abandonné pour une raison très simple... Ce n'était pas la meilleure des raisons, sans doute, car je n'arrive pas à trouver de bonne raison pour abandonner une "chose" comme un blog, qu'en tant qu'auteur on remplit un peu comme un enfant que l'on nourrit au sein, mais toujours est-il que j'ai tout simplement "arrêté" de le tenir à jour parce que je n'y arrivais plus.

Trop mal, tout le temps, entre la douleur, les effets divers et variés des médicaments et surtout l'incapacité à travailler, l'oisiveté forcée qui en découle et qui m'a toujours rongé, lentement mais sûrement, sans parler bien sûr des tas de soucis plus ou moins gros, quotidiens ou qui durent dans le temps et qui se greffent sur tout le reste, mais chacun connaît cela n'est-ce pas, bon bref, un jour je me suis dit "STOP. Je ne peux plus." Et ça a été aussi simple que ça. Une sorte de burn-out du blogueur, quoi, cette incapacité opposée à cette envie de continuer, de briller (on ne sait même plus bien pour qui au bout d'un moment : pour soi ? pour les autres ? parce qu'après tout, il est peut-être vrai que ce que je fais plait à quelqu'un ?), qui se heurte toujours à la nécessité de trouver de la matière, des choses qui nous inspirent, dont on a envie de discuter avec d'autres, etc.

Mais nous n'allons pas passer la journée à parler de moi, qui suis un sujet de si peu d'intérêt alors qu'autour de nous, par la volonté du nouveau président élu comme ils disent dans les médias, les têtes coupées volent en tous sens dans le ciel, les vestes et même les tailleurs se retournent en virevoltant comme par magie avant de retomber sur les épaules de leur propriétaire, sans parler bien sûr de toutes ces torpilles lancées de tous côtés et dans toutes les directions, qui frappent un peu au hasard, brisant parfois en deux un navire qui au départ n'était visé par personne... Quelle folie !

Il y aurait tant à dire... Autant, donc, vous poser la question à vous, chères lectrices, chers lecteurs : de quoi aimeriez-vous que nous parlions ?

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17 novembre 2011

Et à présent, quelques messages personnels

micro BBC 1940@toto : merci pour ton indéfectible soutien, mon cher toto ! Toutefois, si je puis me permettre, il y a bien longtemps que je ne me suis plus mis un doigt dans le cul, parce que d'une part, ça ne sent pas toujours très bon après quand tu veux attraper tes crottes de nez, et parce que d'autre part, les bouts de c..., ce n'est pas ce qu'on a inventé de mieux pour garantir une bonne hygiène de claviers qui en voient déjà passer bien plus qu'ils en méritent en général (et je sais de quoi je parle : y'a des boulots où, en nettoyant le clavier de l'ordi qui m'avait été alloué, c'est tout juste si je n'ai pas retrouvé des colonies de rats morts, ou des mutations d'Ebola teintées au marc de café ! Des trucs dégueus, quoi).

@Mame Poliblog : t'as signé pour le meilleur et pour le pire, ça t'apprendra à lire les trucs que tu signes. :)

@olaf : bah, tu as suivi l'actu comme moi ! On a laissé les tunisiens, vieux, femmes, enfants et hommes, se prendre des bastos entre les deux yeux et même proposé notre aide (enfin je veux dire, Mam a proposé notre aide) pour "améliorer le score", mais quand Mouammar s'est mis en tête de couper les robinets qui nous permettaient de brûler tranquilles autant d'essence qu'on voulait dans nos bagnoles, alors là, il a FALLU que nous fassions quelque chose ! Non sérieusement, buter un tunisien, c'est pas la mort (sauf pour lui, yerk-yerk), mais toucher à Notre essence et laisser, EN PLUS, menacer impunément Nicolas de révéler que le président de sa République est une petite fiotte prête à se faire prendre par tous les trous à condition qu'on lui glisse quelques biftons dans le soutif, çà NON, çà n'était vraiment pas possible ! Dieu soit loué, Mouammar a été lynché comme un vieux clebs, personne ne sait toujours d'où est venu le pognon de la campagne 2007 de papi Nicolas, et tout est redevenu pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles (ouf) ! La démocratie, l'honnêteté, le courage et la droiture républicano-gaulo-bushistes ont triomphé du mal et tout est bien qui finit bien. Surtout pour certains.

@Evelyne : vous savez Evelyne, quand on entend par exemple une m... comme Jean-François Copé expliquer, grosso modo, qu'il était puceau du cul et qu'il avait encore des scrupules à sucer des mecs plus âgés avant de se lancer dans le métier de "politique" (parce que pour ce connard, faire de la politique, c'est un métier en plus !), je crois qu'on a fait le tour de la question ! Traduisez des Boujenah, des Moati, des Delanoë et toutes autres sortes de parasites qui, de tout temps, ont adoré se faire cirer les pompes par des indigènes sous prétexte que, selon eux, ça rendait forcément service à leur famille, il faut prendre leurs paroles pour ce qu'elles valent et pour ce qu'ils valent eux-mêmes, à savoir, rien du tout la plupart du temps.

@olaf (n° 2) : au sujet de mon plagiaire roumain, je trouve qu'il faut vraiment être un gros con pour publier des textes en blanc brillant sur fond noir. Rien de tel pour s'éreinter les mirettes, du travail de roumain, quoi.

@A2N : tu sais A2N, au sujet de MAM, avant de jeter la pierre à cette vieille morue, il faut tout de même rappeler que la miss a 65 ans bien sonnés et que de la hauteur de son QI, elle sucrait déjà les fraises longtemps avant que le petit Nicolas n'arrive à se convaincre qu'un jour, il pourrait devenir président de sa République ! MAM, mine de rien, c'est l'un des mariages les plus détonants qu'on ait jamais vus entre la connerie et la vieillerie, et je ne parle pas de son goût vestimentaire (de chiottes), avec sa manie ridicule de jeter des espèces de draps à motifs sur ses épaules cagneuses (une mode vaillamment reprise par l'autre tanche de luxe qu'est Nathalie Kosciusko-Morizet) ! 'faut pas trop t'en faire pour tout ça, les prochaines étapes pour MAM, ce seront de toutes façons la maison de vioques puis le cimetière. Le problème, avec cette couillonne, c'est que l'opprobre que la vieille carne a jetée sur nous tous, français, lui survivra longtemps, et que je n'arrive pas à voir comment les français en général pourraient, un jour, se faire pardonner pour l'indignité des propos que cette vieille merde a tenus devant le monde entier (?). Si cela ne tenait qu'à moi, on devrait envoyer la vieille peau fripée de MAM en Tunisie pour que le peuple puisse se tailler des abats-jours fripés dans les parties encore présentables du truc. Avec un peu de chance, y'aurait forcément deux ou trois cons, par-ci par-là, pour trouver ça vintage et super branchouille !... 'fin bon, je ne sais pas trop. Faudrait la buter, quoi. Mettre dans la tête de MAM le plomb qu'elle n'a jamais eu, comme ça, la prochaine fois qu'elle irait barboter chez un pote dictateur, loin de chez nous en Afrique, elle coulerait à pic la tête la première et on n'entendrait plus jamais parler de cette bonne à rien. Bon, la discussion est ouverte s'il y en a qui ont d'autres idées, l'essentiel étant, pour nous, de nous débarrasser des souillures laissées sur nous tous par ce genre de vieilles rombières.

@u journaldepersonne : lien HS, mais quand j'aurai un peu de temps, j'irai fouiner sur votre blog pour voir ce qui s'y raconte, bien que de prime abord, j'aie l'impression, en y ayant pénétré sans trop m'être avancé, d'avoir posé le pied sur le pont d'un navire sans capitaine... Mais peut-être me fous-je le doigt dans l'oeil jusqu'au coude ?

@Stéphanie : c'est très gentil de m'admirer plus que je m'admire, Stéphanie, mais est-ce bien raisonnable ? Je veux dire, je ne suis qu'un citoyen qui, au lieu de vivre seul avec la nausée qu'un certain monde lui inspire, a choisi de partager des réflexions pas toujours bienséantes avec des gens qui, comme lui j'espère, se sentent de moins en moins à l'aise dans un pays gangrené par ses propres "élites". Est-ce que ça fait de moi un type pour lequel on devrait avoir envie de voter à l'occasion d'une élection présidentielle ? Eh bien pour être tout à fait franc, je pense que OUI ! :) Mais si ça n'était pas moi, j'ose espérer que notre monde serait toujours capable de produire des tas de gens comme moi qui, s'ils avaient un fusil à la maison, n'auraient pas besoin d'aller chasser plus loin que la rue du faubourg Saint-Honoré pour réguler certaines espèces nuisibles. Bon, trêve de plaisanteries, dès que j'ai obtenu les cinq cents signatures, rassemblé les quelques euros indispensables pour payer mes affiches et un document de campagne qui dira bien ce qu'il voudra dire, promis, je présente ma candidature et je renvoie :

1°) Nicolas Sarkozy à Neuilly (ou volontiers au-delà) à coups de pompes dans son gros cul,

2°) François Hollande à ses "réunions" philosophico-politiques, où le père La Morale discute le bout de gras avec des voleurs, des violeurs et des assassins d'hémophiles.

Remettre certaines personnes à la place qu'elles me semblent mériter, c'est déjà un projet de société qui, à mon humble avis, ne ferait de mal ni au moral des français, ni à leur impérieux besoin de retrouver l'envie de se battre au service d'un pays dont ils pourraient à nouveau être fiers, si tant est qu'ils l'aient déjà été... La confiance, c'est la clé. Et personne ne peut avoir confiance en quelqu'un qui torche sa maison, du moins, c'est à peu près comme ça que je vois le commencement du truc.

@Evelyne : ayé Evelyne, j'ai écrit plein de mots ! Pour la santé, ça ne va pas aussi bien que je le voudrais mais je tiens le coup, en tout cas j'essaie. Cà n'a l'air de rien, la santé, mais quand je vois nos politiques, qui en ont souvent bien plus qu'il ne leur en faut, et quand je vois ce que ces larves arrivent à faire de leur vie et des nôtres par la même occasion, souvent je me dis qu'il y a des cartouches de fusil de chasse qui se perdent. Nourrir, d'une certaine façon, une haine aussi inextinguible, aussi vigoureuse que la mienne pour les balayures qui chaque jour pourrissent la vie de millions de français en les assommant avec des couillonnades de petits merdeux qui n'ont pas pris assez de baffes de la part de leurs parents, ça contribue à me permettre de rester à flots. En plus, bien sûr, de l'amour que je nourris pour ceux qui me supportent au quotidien, et croyez-moi, parfois la douleur fait de moi un type qui ne rigole plus du tout du tout. Bref, y'a du bon et y'a du moins bon, çà doit vouloir dire, je suppose, que même si cette évidence ne me saute pas constamment aux yeux, je suis toujours en vie, et toujours confronté, aussi, à une interrogation qui m'empêchait déjà (presque) de dormir en 2007 : comment peut-on faire pour taper dans les couilles de mecs qui n'en ont jamais eues ? Cà, ma bonne dame, c'est une sacrée question ! ;)

@Eureka_or : dans quelques moments d'égarement, de légère exagération ou de franche énervitude, j'ai, je crois, déversé de nombreux tombereaux d'injures de toutes sortes contre le président de sa République. A celles et ceux qui verraient dans ce genre de petits dérapages quoique ce soit de personnel, je me dois de préciser qu'il n'en est rien du tout : Nicolas Sarkozy et moi, on ne se connaît pas, on ne s'est jamais croisés et on ne s'est pas non plus savonnés sous une douche un soir où nos femmes nous avaient foutus dehors (et je n'ai pas grimpé Carla non plus), d'ailleurs, quand j'y réfléchis, je me dis que c'est très bien ainsi ! Parce que des Sarkozy, à dire vrai, je n'ai jamais eu besoin d'en rencontrer un pour en avoir rencontré beaucoup. Ce genre de connards d'anthologie, qui se prennent pour des cerveaux et de gros couillus, avec leurs petits genoux qui se touchent et leurs rêves délirants de grandeur qui, quoiqu'ils vous disent, les font toujours passer pour des blaireaux pur jus, j'en ai rencontré plein les bars à pochtrons où, parfois, je faisais un stop pour m'enfiler un grog quand je rentrais enrhumé de la fac... J'en ai rencontré plein à l'armée, aussi, et en entreprise, je ne vous en parle même pas ! Le gros connard, le mégalo de bac à sable qui sait tout sur tout et qui vous assomme même avec sa famille et ses problèmes de coeur qui saigne (!) au moment précis où sa femme roucoule dans les bras d'un autre (tiens, ça me rappelle un certain président), il fait un peu partie de notre patrimoine national en France, comme le camembert ou la baguette de pain. Le problème, c'est que chez nous, les gros cons, à force de les tolérer sans jamais l'ouvrir, on a fini par les collectionner VRAIMENT, on les élève même en troupeaux !!! Si bien qu'aujourd'hui, il y a des familles entières de cons, des partis remplis de cons, des idées de cons glorifiées par des cons, et même de pseudos raisonnements de cons salués par d'autres cons qui ne connaissent rien à rien. Sous la connerie suprême mais soi-disant bienveillante de Nicolas Sarkozy d'ailleurs, on a même vu apparaître une sorte de morale des cons (!), avec des "explications" et justifications de cons qui ont l'incroyable culot de prendre les autres pour des cons ! C'est, au passage, un truc qui me gêne un peu, même quand moi-même, j'ironise sur la toute petite taille de Nicolas Sarkozy : que l'imbécile soit nain, ce n'est pas de sa faute, mais qu'il soit un sale con par contre, ça, c'est une toute autre affaire ! Dont je suis bien certain que nous aurons l'occasion de reparler. :)

Bon bref, merci à toutes et à tous de ne pas m'avoir oublié et de continuer à venir ici. Je ne sais pas si cela contribuera à envoyer, un jour, des rognures qui le méritent dans un centre de retraitement de déchets, mais moi personnellement, ça me défoule bien d'écrire ce que je pense de "tout ça". Pour moi, c'est un peu comme ouvrir en grand toutes les fenêtres d'une pièce où quelqu'un aurait déversé des tonnes de lisier, ça me permet de mieux respirer et même d'oublier, par instants, à quel point les crasseux qui osent nous parler de "confiance" se foutent de notre gueule à tous.

Faudrait génocider tout ça, et après la version électronique, passer au vrai récurage que mérite notre beau pays, où la racaille ne se terre que rarement où certains cons ont le culot de le prétendre.

16 novembre 2011

Cà devait arriver

volcan - éruptionBon, je pète toujours pas la forme, hein, mais depuis quelque temps, je sentais la bave, euh, je veux dire la lave monter en moi... Il était probable qu'un jour ou l'autre, toute cette pression finirait par s'échapper dans un grand geyser de fureur. Y'avait qu'à appuyer au bon endroit, y'a un con qui l'a fait !

Déjà, je me sens mieux.

Si je suis d'attaque, nous parlerons, ces prochains jours, du pitoyable spectacle des candidats à la prochaine élection présidentielle, de leurs partis et de leurs valetailles qui, sous la haute influence de Nicolas Sarkozy et des suceurs caciques qui le soutiennent, semblent avoir plus ou moins oublié que pour devenir président de la République, point n'est besoin d'être con, vulgaire, voire même insultant envers les autres (pas vrai Jacob ? Pas vrai Fillon ? Pas vrai Copette ? Et je ne parle même pas du petit Wauquiez... 'sait toujours aussi bien causer le françois, cet abruti).

Vous me direz, dans mon dictionnaire des antonymes personnel, l'un des contraires du mépris c'est le respect, et le principal problème du respect, quand on s'intéresse aux shows donnés par les politiques en ce moment, c'est qu'il se gagne et qu'ensuite, il continue toujours de se mériter. C'est là que ça coince. Que le bât blesse, ou si vous préférez, que surgit le fameux grain de sable qui va finit toujours par gripper toute la machine.

Parce que la question à mille francs est, donc, de savoir qui, parmi les postulants qui veulent virer le cul de Nicolas Sarkozy de son sofa à l'Elysée, serait susceptible de mériter notre respect, entre, tout d'abord, une Barbie revue à la sauce "crise" qui se verrait bien rester dans un plumard où elle adore se vautrer (on parle de Nicolette), un ex-gros de la gauche molle qui cent fois a serré la main d'un type qui aurait violé ses deux filles s'il les lui avait présentées (et le pire, c'est que le papa, il savait !), une verte pas trop mûre qui n'a jamais vu un vélo autrement qu'en photo, et un vieil escroc qui a fait de la "rébellion" contre tout (donc contre rien) un vague fourre-tout, post-plein de trucs, qui à défaut de faire cavaler les foules fait en tout cas bouffer toute une équipe de larbins de gauche à la fin du mois (vous parlez si c'est beau)... Et encore, j'ai oublié François Bayrou ! Notre pseudo-bouseux préféré, mais à ma décharge, c'est probablement parce que les Français, eux aussi, oublieront de voter pour ce nul qui, aux dernières nouvelles, n'est toujours pas allé récupérer le tracteur de son père que de braves gosses avaient remis en état pour lui (et ça c'est pas bien du tout) !

Ils sont comme ça les politiques, rien à foutre de rien. Ca jacasse, ça fait la roue, ça se bécote et ça se tripote entre deux portes, puis ça se tient par la barbichette, et le premier de la bande qui esquisse un sourire reçoit un coup de genou entre les jambes ou un coup de coude dans les mamelles, selon que l'on a affaire a un paon ou à une paonne...

A quoi ça sert, un politique ? Ou même un candidat ? Ben quand je regarde la France, et surtout l'état dans lequel on l'a mise au cours des dernières années, avec un soutien sans faille de ceux qui aujourd'hui nous promettent de meilleurs lendemains (une chanson à peine connue), je me dis que c'est un peu comme la vérole : ça ne sert à rien, à part faire courir ceux qui veulent la fuir ou ceux qui veulent l'attraper (il y en a).

Les politiques, je ne sais même pas pourquoi je parle de ces larves.

16 novembre 2011

Sarkozy et l'insulte DE TROP

Button ZeroDîtes, amies lectrices, amis lecteurs, je ne sais pas si vous avez regardé votre TV ou écouté votre radio hier, mais au cas où vous ne l'auriez pas fait, ben je me dois de vous informer qu'une fois de plus, Nicolas Sarkozy, président de sa République, a dégueulé sur des milliers (combien, de milliers ?) de Français en expliquant à une assemblée, comme d'habitude, essentiellement composée de vieilles sous-merdes d'extrême-droite et de jeunes pétainistes qui n'ont même pas honte de vivre qu'être pauvre (= toucher le RSA), c'était exactement la même chose qu'être un cafard, habitué à voler son pain pour continuer à gambader sur le carrelage de la cuisine !

Tu touches une alloc' ? C'EST PARCE QUE TU ES UN VOLEUR ! Tu n'as pas d'emploi ? C'EST PARCE QUE TU ES UN BRANLEUR !! Toi, ou ta famille, vous percevez le RSA ? CELA SIGNIFIE QUE VOUS TENDEZ LA MAIN POUR "SURVIVRE" (si-si, cette petite merde de Sarkozy a osé employer le mot !), et au cas où tu l'ignorerais, pauvre con, inculte malhonnête et pouilleux, ignoble rebut de miséreux qui ne porte même pas de Rolex à ton poignet quand tu fais un môme à une pute, ou quand tu vas toi-même faire la pute pour toucher ton enveloppe chez un couple de retraités nostalgiques du nazisme et gavés du pognon gagné par d'autres à la sueur de leur front, CELA SIGNIFIE QUE tu n'as AUCUNE DIGNITÉ !

Non mais vous vous rendez compte ? Nicolas Sarkozy, l'handicapé, la plus grosse branleuse de France, la gonzesse la plus maquillée de Paris, un mec qui ne sait ni changer une ampoule, ni conduire une bagnole, et qui n'a même jamais conduit aucun de ses chiards à l'école, ça, je veux dire, une pareille merde, qui n'a jamais travaillé de sa vie, çà voudrait me donner des leçons de citoyenneté ??? A MOI ? Cà aurait la prétention de se croire autorisé à m'expliquer (parce que je suis censé être con, en plus) ce qu'est un Français "digne" et ce qu'est un profiteur qui chie chaque jour sur son pays, sur ses concitoyens et sur son drapeau national par la même occasion ?

Eh, Nicolas, tu veux que je te dise ? Il faut te calmer, nabot : moi, ma maladie et mon chômage, et je vais même me permettre de parler en leur nom, ma femme, qui se bat pour gagner chaque mois un petit salaire, mon fils, qui aura bientôt trois ans, et auquel tu ne vas laisser qu'un champ de ruines pour tout horizon, sans compter bien sûr le chat de la maison, qui n'a jamais écouté la moindre de tes couillonnades à la TV ou n'importe où ailleurs, ON T'EMMERDE ! On te chie dessus. On te balaie !

Pour nous, tu ne représentes rien. Aucune valeur. Pour tout dire, horreur de la nature, pour nous, tu ne pèses pas plus lourd que les étrons dont, chaque jour, nous nous débarrassons en tirant la chasse d'eau, la principale différence entre toi et lesdits étrons étant que les étrons, eux, bah il ont au moins ils ont le bon goût de ne pas revenir chaque jour nous casser les c... avec des assertions qui ne tiennent jamais debout à la télé.

Et c'est pas tout ! Ouvre grandes tes feuilles de chou, sale petit nain, parce que je ne te le dirai pas deux fois : traite-nous une fois encore, ou sous-entend simplement encore une fois que nous serions des voleurs, des branleurs ou des gens qui n'ont pas d'honneur, ou pas de dignité, et je viens te casser la gueule dans ton château DE MERDE, sale petite ordure, où soit dit entrre nous, sombre larve, tu ne pourrais pas reluquer ton nombril si NOUS, comme ton soi-disant Etat ou ta soi-disant République, on ne passait pas nos journées à PAYER pour que tu puisses te promener et te branler les couilles !

L'indigne, C'EST TOI ! La branleuse, C'EST TOI ! Le voleur, C'EST TOI ! Et si tu veux qu'on en discute, tu peux ramener ta gueule ici quand tu veux, essayer, par exemple, d'expliquer à ma femme et à mon gosse qu'on est une famille de parasites et de feignasses : je te ferai rentrer la tête dans le Q à coups de poing, ensuite, je te balancerai dans l'escalier comme une serpillière, et après t'avoir fait rouler dans l'ascenseur en poussant ce qui te sert de corps avec mes semelles, répugnante charogne, j'appuierai sur le bouton qui te conduira à l'étage qui correspond le mieux à ce que tu as toujours été, à ce que tu es et à ce que tu seras toujours pour nous : un zéro complet. Un sous-Français. Un sous-homme dont la mère et le père auraient dû être stérilisés.

C'est tout.

P.-S. : envoie-moi des flics et j'te bute, sale lopette.

NDR : Non mais alors, il se prend pour qui ce petit connard ? Je t'en foutrais moi, des insultes !

18 janvier 2011

Quand MAM se défend d'avoir dit ce qu'elle a dit

MAM_se_d_fend__red_nose_Bon, on ne va pas faire un petit sujet sur tous les faits d'actu. du jour et des précédents (on fera plutôt une sorte de ragoût géant ce soir), mais quand même, il fallait que je vous dise que conviée ce matin à s'expliquer, sur les propos qu'elle aurait tenus au sujet d'une nécessaire rééducation des Tunisiens avant la fuite de Ben Ali, devant la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, Michèle Alliot-Marie a affirmé haut et fort qu'elle n'avait jamais dit ce qu'elle a dit et qu'elle ne voulait pas, non plus, donner à ses propos l'unique sens que beaucoup avaient cru devoir leur donner.

En clair, si vous voulez, c'est un peu comme si j'écrivais ici que Nicolas Sarkozy est un handicapé cérébral doublé d'une incommensurable feignasse, qui passe sa vie à se promener aux frais de tous les Français (y compris ceux des DOM-TOM), pour écrire dans les lignes suivantes que Nicolas Sarkozy est le mariage le plus réussi que l'on ait jamais vu entre une remarquable intelligence et une passion du travail qui tutoie l'amour fou, l'intelligence de Nicky étant toujours mise au service du travail, au point que la poupée de l'Elysée risquerait fort de crever de surmenage avant la fin de la semaine en cours si l'on en croit ses copains de l'UMP !

Ca sonne vrai, quoi.

A part ça, parce qu'à mon avis il convient de le rajouter puisque nous en sommes à parler de ce sujet précis, MAM a dit avoir été si horrifiée par le comportement des forces de l'ordre tirant sur la foule en Tunisie, qu'il a fallu qu'elle change de culotte et même de tailleur (il était trempé de larmes) avant de reparaître pour crier toute l'émotion que cette ignominie lui avait fait ressentir.

On y croit on y croit. Et on est fiers de toi, MAM : il était temps que tu fasses taire ces ragôts répugnants !

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18 janvier 2011

Jean Dutourd est mort

tour_de_France_2010J'interromps un instant ma dernière pause d'avant-dodo pour vous apprendre la mort de Jean Dutourd : le gars était académicien et avait dû souffler 91 bougies à son dernier anniversaire. A mon avis, soit c'est ça qui l'a tué (le manque de souffle après un tel exercice), soit il manquait tellement d'air à l'idée de son prochain anniversaire qu'il a préféré en prendre une grande, une dernière bouffée avant de s'en aller !

Bon, le tour du sujet nous avons fait, je crois me souvenir que c'est la formule consacrée dans ce genre de circonstance.

P.-S. : ciao, Jean, et n'oublie pas de saluer VGE de notre part STP !
Le fantôme de J.D., s'exprimant sous la forme d'un ectoplasme apparaissant subitement dans la pièce : Mais Poliblog, VGE n'est pas encore mort !
Poliblog : HEIN ? Il est pas encore crevé, c'te vieille carne ???
Le fantôme de J.D. : Ecoute, je sais quand même où je me trouve jusqu'à preuve du contraire, et je peux t'assurer que VGE n'est pas ici !
Poliblog : Ah bon, ah ben mince alors, je crois toujours qu'il est mort celui-là, mais qu'est-ce que tu veux, ça c'est les anciens présidents, c'est sûr que c'est pas avec ce qu'ils ont fait pour la France et les français qu'ils ont gagné des places dans la file d'attente pour le cimetière !
Le fantôme de J.D. : Ecoute Poliblog, ta conversation est très intéressante mais je dois t'expliquer une chose. Moi, je suis mort, alors tes divagations de vivant qui s'emmerde en attendant de me rejoindre, tu comprendras que ça me laisse un peu de marbre !
Poliblog : hi-hi, de marbre, alors que t'es mort ! Elle est trop bonne !!! T'es con Jean, de me sortir des vannes pareilles, tu veux me faire mourir de rire ou quoi ?
Le fantôme de J.D. : Non.
Poliblog : Ah bon ? Ah ben OK. Ah ben je vais me coucher alors.
Le fantôme de J.D. : Oui, fais donc ça. A cette heure-ci tout le monde dort, de toutes façons.
Poliblog : OK, j'y vais. Salut Jean !
Puis l'ectoplasme de Jean Dutourd disparut.

Photo - un cliché du Tour pris l'année dernière : il avait pourtant l'air en pleine forme !

18 janvier 2011

Le Poliblog candidat en 2012 : qu'est-ce que vous en dîtes, vous ?

 

 

 

Sim

Retour imminent.

Bon, imminent, ça veut dire quelques jours tout de même, hein, 'faudrait pas non plus que je me fasse une entorse à un doigt en me remettant trop vite au "boulot"... :)

En tout cas Evelyne, olaf, Stéphanie, c'est gentil de continuer à venir ici ! Ca me fait chaud au coeur de savoir que j'ai encore des "fans" !!! Quelque part, c'est comme si on m'administrait un bon coup de pied au derrière, ou qu'on me jetait un seau d'eau glacée alors que je suis en pleine sieste.

Ca réveille, quoi.

Or donc, mes ami(e)s, comme souvent je n'ai pas besoin de vous dire que l'actualité est plutôt chargée en ce moment : entre l'affaire du Mediator (dont le numéro de singe savant de Xavier Bertrand n'est pas le morceau le moins savoureux), le nouvel impôt inventé par les sarkozistes qui, ah oui, c'était promis, ne devaient pas toucher aux impôts, la fuite de Ben Ali chez les copains de Sarkozy (il devait au départ venir chez nous) et le retour de cette raclure de Baby Doc en Haïti, sans parler bien sûr du scandale créé par cette vieille conne (c'est dit, et je le dis comme je le pense pour une fois) de MAM qui a carrément osé proposer l'aide de "la France" pour apprendre aux "forces de sécurité" du coin à mieux cogner sur le peuple tunisien, c'est qu'il s'en est passé et qu'il s'en passe encore, des choses !!!

Ouattara, le premier "président d'hôtel" du monde, Yannick Noah, qui vient se remplir les poches chez nous avant d'aller claquer son pognon aux States d'où il chie sur une France où il ne paie plus l'impôt (sur les pépètes qui rentrent), Drucker, qui non seulement n'est pas mort, mais qui en plus vient de faire son retour sur France 2 dans une émission qui était déjà ringue il y a vingt ans (et vive l'emploi des jeunes !), ou même sa nièce, que je vois en couv' de trois magazines pipoles à chaque fois que je passe devant le marchand de journaux, parce que soi-disant la semaine précédente, elle se serait faite grimper par untel et untel en même temps puis peut-être manger par une telle la nuit suivante, on n'a plus le temps de souffler !

Même plus le temps de bien, de vraiment se rendre compte que tout est devenu sale, vulgaire. Répugnant souvent.

Hier, mais n'est-ce qu'un tout petit bout d'une actualité quotidienne qui ne fait plus bondir que moi (?), ce qui comptait, c'était de glisser son objectif sous, voire dans les narines des parents, des copains des deux jeunes qui sont revenus du Niger dans des caisses en sapin. 'Fallait choper "la" larme qui tue, enregistrer "le" chevrottement dans la voix de celui ou celle qui, parlant d'un des petits, disait plus ou moins qu'il avait le coeur qui saignait et qu'il ne comprenait plus grand-chose à ce qui se passe dans le Monde.

Sur cette affaire, je pense aussi, autre exemple assez vomitif, à ces parasites, à ces viles crapules, qu'écris-je, à ces sous-résidus d'humanité que sont les politiques qui ont trouvé bon de s'associer à la douleur des familles des deux petiots qui se sont faits buter au Niger : droite et gauche réunies pour une fois, tous se seraient presque tenus par la main pour dire à quel point la mort de deux jeunes (blancs) froidement exécutés par d'horribles terroristes (noirs) les avait touchés, écoeurés même ! C'est clair qu'on n'était plus à Paris, ou quand une vieille se fait fumer par un djeun' qui veut lui piquer son sac dans le métro, on fait un pas de côté pour ne pas salir sa semelle en lui marchant dessus...

Mais retournons au Niger. Il y en a un qui a pris au moins une praline dans la tête, qu'on dit, et l'autre qui s'est fait carboniser par on ne sait trop qui ni pourquoi... Un hélicoptère français disent les uns, qui ce faisant balaient le revers de leur manche avec un air de ne pas y toucher qui donne envie de leur donner une bonne baffe quelque part... D'affreux terroristes sanguinaires disent les autres, qui soutiennent qu'Al-Qaïda ben ils sont tous méchants alors que nous ben on est tous gentils (CQFD) !

Ca se discute, comme dirait le pauvre Delarue, ou ces dizaines, ces centaines de petits Afghans qui ont perdu une jambe ou les deux, parce qu'un "soldat de la paix" a fait voler leurs gambettes dans les airs en croyant tirer sur "un insurgé" qui nargue les combattants "du bien".

Ouais, y'a beaucoup de choses qui peuvent se discuter, quand on y réfléchit.

Et nous aurions beau essayer de parler de tous ces sujets jusqu'à la fin des temps, nous serions encore bien loin du compte si nous ne parlions que de ceux-là, parce que la perspective d'avoir à la tête de la France, en 2012, la fille du vrai Le Pen ou la caricature du vieux actuellement en poste ou, mieux encore, un pervers sexuel doublé d'un violeur blanchi disposant a priori du soutien inconditionnel de milliers de membres d'un parti dont je tairai le nom ici, mais qui ne demanderaient rien de mieux que de faire encore plus de gras pendant cinq ans à compter de 2012, vous conviendrez avec moi que tout cela a quelque chose de proprement LOUFOQUE, VERTIGINEUX ! TERRIFIANT ! FOU ! DEGOÛTANT, en plus !!!

Vous imaginez, vous, un violeur à l'Elysée ? Ou la fille de Jean-Marie Le Pen ? Ou un deuxième mandat du vrai, du seul, de l'unique leader du premier parti d'extrême-droite en France, à savoir Nicolas Sarkozy, patron d'une UMP avec laquelle, à ma connaissance, un seul mec (i.e. élu national) en France a eu le courage de couper les ponts lorsqu'il a réalisé que Sarkozy et sa valetaille n'étaient, ne seraient jamais que des Ben Ali français, s'en fourrant jusque-là en se payant le luxe de déféquer en public sur toutes les valeurs qui ont fait de la France un pays dont tous, un jour, nous avons pu être fiers ?

C'est monstrueux !

Je vais vous dire, quand je pense à tout ça, quand je pense à ce qu'est devenue notre vie, à ce que sont nos perspectives du moment à nous, Français, qui contrairement à la racaille politicienne voulons encore croire en notre pays envers et contre tout, je ne sais pas si je dois présenter ma candidature à la prochaine élection présidentielle ou si je dois courir aux toilettes pour vomir mon dîner.

Après tout, si Nicolas Sarkozy a démontré quelque chose en quatre ans de vacances, c'est bien que n'importe qui peut devenir président de la République française et faire littéralement n'importe quoi "au nom de la France" sans que cela empêche qui que ce soit dans la classe politique de dormir sur ses deux oreilles !

Dormir sur vos deux oreilles, vous y arrivez encore, vous ? Moi non. J'y arrive plus. Il faut que tout ça change, il faut que quelqu'un fasse péter tout ça. Qu'on scie l'édifice à la base, avant de le pousser pour qu'il se brise au sol. Y'aurait pas besoin de grand-chose, une tamponnette avec une grosse mèche, quelques bâtons de dynamite, un briquet et hop, la France ne serait pas forcément sauvée, mais elle pourrait au moins se transformer pour redevenir un peu de ce qu'elle a été ! Un peu de ce sur quoi je pleure, intérieurement. Un peu de ce que je veux pour nos enfants, pour demain. Vous voyez ?

Les enfants, NOS enfants, eux, les politiques, ils n'en ont jamais rien eu à foutre. Ils les laissent traîner dans les rues sans rien faire, s'entretuer à coups de canif, insulter leurs profs ou se bourrer la gueule jusqu'à ce qu'ils en tombent par terre, quand ils ne leur injectent pas directement des produits non-chauffés dans les veines, pour ensuite venir pleurnicher comme des larves à la TV en jurant qu'ils ne savaient pas, que ce sont eux qui ont été floués !

C'est fou. Complètement dingue.

Pas une once de sens moral.

Aucune humanité.

Rien.

Dans des moments comme celui-ci, dans "mes" moments d'intense découragement, je me dis parfois que c'est Coluche qui avait raison : face à la vraie racaille, face aux rebuts de la France et même de la race humaine que sont "nos" politiques (on ne les choisit pourtant jamais autant qu'on le pense), il faut rester unis, soudés, tous ensemble pour leur foutre au cul ! Surmonter nos divergences (elles seront toujours innombrables), faire taire nos haines réciproques (elles font parfois avancer le schmilblick), faire enfin comprendre, une bonne fois pour toutes, aux X., aux Y. et à tous les mafieux, crétins, bras cassés consanguins qui s'empiffrent de nos gamelles depuis des dizaines d'années que nous ne tolérons plus d'entretenir plus de mille Ben Ali dans deux assemblées qui ne sont même pas capables de destituer un sociopathe qu'on raille jusqu'à l'autre bout de la planète, quand l'incapable notoire, l'inapte de naissance, le flemmard décomplexé prend les commandes d'un pays qu'il fuit à chaque fois que l'occasion s'en présente !

Bref, disons-le tout net, je songe sérieusement à me présenter en 2012 et à administrer des rafales de coups de boule à tous les étrons qui se dresseront sur mon chemin. Et si cela ne me permet pas d'être élu président de la République (ce serait dommage, je suis sûr que je ferais un très bon président), cela me permettra au moins de dire ce que je pense des raclures de bidet qui soi-disant nous gouvernent, mais qui en réalité tuent un peu plus la France chaque jour, sur les ondes de médias captés dans le monde entier où, un peu comme nous pour la Tunisie, l'on préfère encore ignorer que la France est devenue une dictature il y a environ TRENTE-CINQ ANS !

Trente-cinq ans, pour beaucoup de ceux qui ont donné leur vie pour que la France ne devienne jamais ce qu'elle est devenue aujourd'hui, c'est beaucoup plus long qu'une vie d'homme, alors ça suffit, il faut arrêter tout ça !

Disons que si je me présente, vous votez pour moi, et sitôt élu, moi je ne vais pas faire la pute au Fouquet's, je file tout droit chez ma mère pour récupérer le [appareil de nettoyage par eau sous pression dont la marque commence par un K] du paternel et tout récurer du sol au plafond ! Il faut balayer la racaille là où elle s'affiche vraiment, et non là où l'on voudrait nous faire croire qu'elle se terre comme si tel était son destin, parce qu'enfin... Ce n'est pas un destin digne d'un homme, de devenir une racaille ! Et ce n'est pas non plus un destin digne d'un pays comme la France, de devenir de la merde !

Qu'est-ce que vous en dîtes, vous ? Vous votez pour moi si je me présente en 2012, où alors vous préférez comme prochain(e) président(e) pour NOTRE pays :

- un nain difforme et complètement allumé, qui se fait maquiller comme une poupée et qui gueule comme un putois, mais qui se reluque le nombril depuis quatre ans,

- un pervers sexuel (notoire, pour ceux qui lisent un peu les magazines d'actu. ou qui ont de grandes oreilles), voire un violeur faussement repenti,

- la fille d'un borgne au passé plutôt salissant, voire éclaboussant du côté du Nord d'un continent qui se trouve au Sud,

- une débile venue tout droit de la côte Ouest (pas le feuilleton : elle, elle est encore plus conne),

- n'importe quel autre rebut de la race humaine, qui pourrait toujours sortir d'un placard ou jaillir d'une tonsure sous laquelle il se planque depuis des années ?

Moi, je sais bien ce que je ferais à votre place (holà oui !), mais bon, j'écris ça, j'écris rien.

Et puis d'ailleurs, je ne sais même pas si la France mérite encore que je la redresse.

La nouvelle Constitution par exemple, ça ferait déjà pas mal de vilain, chez les pourceaux qui aiment tant se rouler dans la fange de la Cinquième... Qu'importe, je leur rappellerais à coups de beignes que ce sont eux qui sont au service des Français, et non l'inverse !

 


 

P.-S. pour olaf : je te souhaite tout le courage possible. C'est encore le meilleur médicament que j'ai trouvé contre la douleur, et à de rares exceptions près (Sarkozy et les starlettes du même genre, les politiques en général, les fonctionnaires qui sautent par les fenêtres, etc.), nous en avons tous beaucoup plus que nous pensons au fond de nous.

P.-P.-S. pour tous : je n'oublie pas les commentaires, mais je n'ai pas quatre bras et surtout, je ne suis, toujours, pas souvent en forme pour écrire comme ce soir. Ca me fait penser qu'avant de parler de courage à olaf, il faudrait peut-être que je me mette, moi-même, à réétudier le sens de ce mot.

P.-P.-P.-S. : si la photo d'illustration de ce sujet vous a "excité(e)", il est inutile de me contacter pour me proposer une séance de frotti-frotta sous la douche ou ce genre de choses... Il ne s'agit évidemment pas d'un cliché de ma pomme, mais du morphing d'une photo de Nicolas Sarkozy prise quelques minutes après la naissance de ce regrettable individu (sous réserve de vérification auprès de mes sources habituelles) : ça aide à comprendre la vitesse à laquelle le père de Nicolas s'est tiré de la maison familiale, ça aide aussi à comprendre pourquoi sa maman a tant lâché la bride au petit Nicolas, qui après avoir été un sale morpion, un sale ado puis un sale maire de, euh, Neuilly-sur-Seine je crois, ne pouvait devenir qu'un sale président, déversant des tombereaux de crasse partout où il passe. Euh, passons, justement.

Photo (c) http://www.macplus.net/magplus/IMG/jpg/sim-2.jpg

5 janvier 2011

Bonne année à toutes et à tous

champagneBonjour les ami(e)s ! Comme nous étions le 4 janvier hier, et qu'en ce moment je ne relève mes emails que tous les 4 janvier (on fait ce qu'on peut), je tenais, par ce petit sujet qui n'en est pas un, à rassurer l'ensemble de mes lectrices et de mes lecteurs (dont Evelyne et Stéphanie) en leur adressant un petit coucou ! Ainsi, bien sûr, que mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année qui commence, et qui, avec un peu de chance, verra une bombe de forte puissance exploser en pleine Assemblée ou en plein Sénat, seul événement, j'imagine, qui serait encore de nature à "secouer" un peu l'un nos deux hémicycles...

A part ça, ben je suis à 180mg de sulfate de morphine par jour en ce moment. Ca fait beaucoup mais il faut croire que ce n'est pas encore assez... Il y a eu un "vrai" mieux il y a quelques semaines (disons un mois, c'est-à-dire il n'y a pas si longtemps que ça), au début de cet énième traitement, malheureusement, à l'heure où j'écris ces lignes, les choses sont en train de reprendre leur cours habituel, dont je vous passerai la description qui n'a rien de bien reluisant.

Ceci dit, vous me connaissez depuis le temps, il ne se passe toujours pas un jour sans que je ne voie, sans que je n'entende à la TV, à la radio ou même dans la rue, des choses qui me font bondir et qui me donnent envie de me jeter furieusement sur mon clavier pour vider mon sac. Un signe que le retour n'est pas si loin que ça, à mon avis ! :)

D'ici là, j'espère que tou(te)s les fidèles qui (m')ont laissé des commentaires dans le blog ou des messages par email voudront bien me pardonner de ne pas y avoir répondu plus tôt. C'est toujours Arnold, l'autre, qui décide de mon emploi du temps plutôt que moi-même, ceci explique en grande partie cela.

Je me demande si tout cela aura une fin un jour... Je me demande aussi, parfois, si la France aura une fin. A moins que pour elle, tout ne soit déjà fini ?

Je dois dire que la perspective d'avoir vraisemblablement le choix, au deuxième tour de la présidentielle de 2012, entre un pervers sexuel et une réincarnation de Garcimore version Tel Aviv a le don de m'incliner à penser que quoiqu'il arrive, ahem, bah je dirais que nous sommes plutôt mal barrés !

P.-S. : bon courage à Olaf. Je sentais bien qu'il y avait un truc qui "clochait" chez toi : je suis navré que ce soit un peu la même chose que chez moi. Fatalitas !

16 juillet 2010

Blog provisoirement fermé

docteur_HousePeut-être pas pour longtemps, peut-être pour plusieurs semaines... Je ne sais pas.

Arnold a fait son grand retour hebdomadaire hier, et au moment où vous lisez ces lignes, j'en suis à ma troisième injection de la journée.

Sans résultat.

Quand j'ai mal comme ça, je ne peux pas dire que j'aimerais qu'Ulysse et ma femme chérie n'existent pas, néanmoins, je dois avouer que s'ils n'existaient pas, cela me rendrait les choses bien plus faciles, à condition bien sûr de disposer de l'outil qui va bien.

Voyons voir, ce ne serait pas très compliqué, même pour un type tout juste capable de se souvenir qu'il faut prendre ses clés quand on sort de l'appartement.

Or donc, il me suffirait de m'enfoncer le canon dans ma bouche, en visant vers l'occiput, de relever le chien et de presser la détente.

Bang.

Fini.

Arnold ne viendrait plus jamais détruire le peu de vie qui me reste, si on peut appeler ça une vie.

Penser tout de même à deux, trois détails : comme cette brève opération d'auto-guérison risquerait de méchamment salir les environs, en particulier le plafond, il faudrait que je prévois, avant d'appuyer, quelque chose pour que personne n'ait à récurer mes bouts de cervelle sur les parois de la pièce, une fois la "libération" effectuée (ouais, moi j'ai jamais aimé salir, surtout lorsque ce sont les autres qui nettoient derrière moi).

C'est ça la névralgie d'Arnold "bilatérale chronique", comme y disait, le soi-disant génie de l'hôpital Bichat qui a fini par me laisser tomber comme les autres, comme une merde... Y'a pas de meilleure définition ! Face à la douleur, surtout à ce genre de douleur-là, tu es toujours seul. Tu refuserais d'ailleurs d'être accompagné ! Tu sais "bien trop bien" ce que c'est.

Autrement dit, les ami(e)s, le Poliblog est provisoirement fermé, jusqu'à ce que je sois à nouveau en état d'écrire. Dieu seul sait quand cela se produira (et encore, je suis pas sûr qu'il sache).

...

Comme je ne savais pas quoi choisir comme illustration pour ce sujet, et surtout pour (pour une fois) vous expliquer cette énième disparition, j'ai choisi la binette du docteur House : un junkie minable, pour ceux qui suivent un peu la série et qui savent ce que signifie "vraiment" avoir mal, et qui bien souvent carburent à d'autres choses que la Vicodine, mais un junkie qui via la prestation qu'il a récemment effectuée dans la VF de House dans un épisode intitulé "Le Grand mal", aura au moins le mérite d'avoir un peu contribué à mettre en lumière ce qu'est la vie quotidienne de mecs comme moi (si si, ils existent) : on pense presque chaque jour à se buter, on se demande comment on fait pour tenir, pour endurer un, des niveaux de douleur aussi élevés, mais comme on est con et que comme le dit le proverbe, l'espoir fait vivre, ben on se dit toujours que le lendemain, ça ira mieux.

Le seul, le léger problème qui se pose avec ce genre de maximes à la con, c'est qu'on ne décide jamais de ce qui vous arrivera le lendemain...

Bah, ne soyons pas trop défaitistes pour autant : d'ici à mon retour, ne vous faîtes aucun souci pour moi. J'ai mal, vous ne pouvez rien y faire, je ne peux rien y faire non plus et les antidouleurs les plus puissants encore moins.

Y'a qu'à attendre que ça passe.

Si ça passe.

13 juillet 2010

Le Poliblog indépendant entre dans l'Histoire !

serpilli_reLecteurs chéris, je viens de scruter les compteurs, et j'ai l'honneur et la grande fierté (si si) de vous annoncer que le Poliblog indépendant a dépassé les 200.000 visiteurs depuis le jour de sa création (ça en fait des gens) !

Sur la même période, plus de 350.000 pages de textes intégralement rédigés par votre serviteur ont été lues, quant aux rats de labo, qui adorent des statistiques qui ne signifieront que dans quelque temps que j'ai toujours été un génie méconnu, ils seront, je pense, enchantés d'apprendre que chaque visiteur a lu ou vu en moyenne 1,76 page du Poliblog (y'a pire) !!!

C'est donc à chacune et chacun d'entre vous que je m'adresse lorsque je dis qu'ensemble, nous formons de toute évidence une bonne équipe, et que si l'équipe du Poliblog avait choisi le foot ou la politique au lieu de polémiques qui ne mennent jamais aussi loin qu'on le voudrait, Nicolas Zi Américane La Flemme Sarkozy récurerait actuellement des couloirs de stades, suivi comme sa petite ombre par Raymond La Science Les Fafiots Domenech qui rincerait les serpillières tout en parlant tout seul (ça au moins, il a toujours su faire).

Bref, merci à toutes et à tous !

I'M HAPPY !

:)

P.-S. : au fait, vous aviez déjà noté que chez nous, la plupart des serpillières sont bleu blanc rouge ? Ce doit être un signe du destin.

Photo : http://francefactory.com/client/cache/produit/500_500____serpilliere%20gaufree%20ecrue_413210%206_28.jpg

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