Carla Bruni enrhume Ségo la dingo dans Google !
En tout cas dans quelques textes de blogueurs (voire de journalistes, pour le vol de mari) que j'ai vu passer aujourd'hui, et disons-le tout de suite, je n'ai jamais vu un tel déferlement depuis les débuts du Poliblog : "écarteuse de pattes", "trou à foutre", voleuse de mari donc (dixit l'ex-femme de sa dernière conquête avant Sarko, si j'ai bien suivi), mais aussi "salope", "pute", "pouffiasse", généreux garage à b... ou pouffe qui se fait ramoner par le grassouillet dans le Poliblog... C'est phénoménal, la vitesse à laquelle quelqu'un dont tout le monde se foutait littéralement la veille peut devenir la cible des pires insultes en moins de vingt-quatre heures !
Insultes méritées ? Probablement pas (quoique). Insultes compréhensibles ? Peut-être bien que oui, car si Nicolas Sarkozy faisait le quart du dixième de son travail de président de la République au lieu de se faire ramener ses conquêtes directement à l'Elysée aux frais des Français, personne ne trouverait quoique ce soit à redire à sa vie privée, or c'est plutôt à l'inverse que nous assistons depuis plus de sept mois, et par un curieux phénomène de vases communicants, c'est Carla qui s'en prend les ratiches un peu partout sur le ouèbe...
Ca promet pour la suite !