Chème onne mitou ?
C'est pas du Ch'ti ni du Breton, ni même du Gallois pour ceux qu'auraient pas compris. C'est une francisation de l'expression horriblophone shame on me, à laquelle j'ai ajouté un "tou", l'ensemble signifiant plus ou moins littéralement "la honte soit sur moi aussi".
Pourquoi ? Oh, pour rien. Juste parce que je vais manquer à une parole, que je n'avais pas vraiment donnée d'ailleurs (puisqu'on aura beaucoup d'occasions de glisser ça et là des allusions à tout ce qu'on a appris dans l'émission "Pièces à conviction" diffusée il y a vingt-quatre heures, dans de futurs sujets du Poliblog). En effet, devant le peu d'enthousiasme (enthousiasme zéro, en fait) pour le sujet que je voulais faire sur l'émission "Pièces à conviction" d'avant-hier (c'aurait déjà été le troisième, mine de rien), j'ai décidé de ne pas pousser le bouchon.
Je laisse donc en plan la rédaction dudit sujet, qui devait parler en détails du contenu de l'émission, et qui n'aurait intéressé que len vinoutra et moi a priori : normal, puisque de toute évidence, nous serions deux des seules personnes en France à l'avoir vue et à ne pas vraiment nous en être remis...
Pour le reste, l'illustration de "ce" sujet parle d'elle-même : dans le monde du silence, une goutte d'eau, ce n'est rien du tout. Même, surtout quand on la détache des autres.