Rachida D., Edouard B., Jacques C. (photo)... La vie trépidante des anciens politiques, et de ceux qui le seront un jour.
Activité très réduite ce week-end... En-dehors de l'émission Ca se dispute (sur iTélé), dans laquelle Rachida Dati a à nouveau fait les frais de l'esclandre qu'elle a provoqué la semaine dernière à l'Assemblée (passée du statut de madone à celui de vulgaire conne), et de son passage ensuite dans l'émission Dimanche Plus, une émission sans parti pris dans laquelle on réserve toujours le meilleur accueil au membres de l'UMP de tous grades (...), il ne s'est rien passé de particulier.
Résumé de Ca se dispute ? Balladur et son goître répugnant auraient dit que Rachida la teigne n'était même pas au niveau d'une secrétaire d'Etat, chose qui incontestablement est vraie, puisque Rachida Dati, tout comme Nicolas, est approximativement au niveau du cul d'un basketteur quand ce dernier se met sur la pointe des pieds... Peu importe, Rachida, qui prend ombrage de tout, a pris ombrage de ce qu'ont dit Balladur et son goître. Elle a donc illico téléphoné aux deux, mais fidèles à la lâcheté légendaire qui leur a permis d'atteindre les plus hautes fonctions dans l'appareil républicain, Edouard et son goître n'ont pas daigné répondre à "moi je Rachida moi je" ! Qu'à celà ne tienne, Rachida, écumant au point d'en tremper tous les tapis de la chancellerie, a fait savoir à Edouard qu'elle l' "emmerdait" ! Affaire réglée.
Résumé de Dimanche Plus maintenant : on a pu vérifier que les mots préférés de Rachida étaient, comme plus haut, "moi" et "je", et entendre celle qui sur un terrain de basket ne peut discuter qu'avec des culs parler de son amour et de son respect bien connu pour les magistrats. Pas celui qui l'incitait à entrer dans les tribunaux de province par les entrées de service pour éviter des manifestants qui voulaient lui cracher à au visage, non, là on parle des "vrais" magistrats, de ceux qui ont leur carte de l'UMP ou du FN, et qui seraient prêts à récurer les semelles des escarpins de Rachi à coups de langue... Que du beau monde, si on ajoute en second invité le président du Conseil constitutionnel himself, dont nous ne citerons pas ici le nom qui est devenu une insulte pour le peuple français, le vil échantillon d'humanité trinquant d'ailleurs pas plus tard que le même dimanche matin avec Jacques Chirac dans un café !
Oui madame, le président du Conseil constitutionnel dont on ne prononce pas le nom s'enfilant une mousse au comptoir avec Jacques, dans un troquet déserté par des clients qui n'ont plus le droit d'y fumer, mais dans lequel il restait tout de même deux ou trois péquenots qui n'avaient rien à foutre de Chirac (beaucoup de gens le prennent encore pour un chanteur-troubadour du type Hugues Aufray, le gars qu'on voyait souvent à la télé il y a longtemps dont personne ne se souvient jamais de qui il est, et encore moins de ce qu'il a fait...).
Devant ces images, j'ai pensé à Jean-Louis Borloo qui aurait aimé être là... Et qui comme les deux autres s'offrira, au mieux, un dix-millionnième ballon de rosé pour célébrer le prochain trépas de Jacques... Chaque jour lui est compté à présent.
Pas moi qui le dis, mais la presse canadienne francophone : Obama ne s'étant pas encore fait plomber par un ex-sympathisant du Klan, auquel on bâtira en toute hâte, un peu comme pour Oswald, un passé trouble de déjanté oscillant entre la Fraternité Aryenne et les kermesses le dimanche pour soutenir les mutilés de guerre revenus d'Irak, on ne savait pas du tout de quoi parler au Canada, circonstance dans laquelle on a été enchanté de pouvoir pondre un papier sur la dernière lubie du "Vieux" (cf. lien ci-dessous : le "Vieux", du Groënland à l'Antarctique et d'Honolulu à La Mecque, en passant un peu au sud de Paris, tout le monde sait que c'est Jacques Chirac).
Or donc, pourquoi parle-t-on du Vieux au Canada ? Eh bien figurez-vous qu'après avoir passé douze ans à s'enfiler des bibines au château et à rouler des patins à la famille Hariri, bibines auxquelles il faut encore rajouter celle de ce dimanche matin au moins (car beaucoup ont dû suivre depuis), le Vieux est sur le point de concrétiser son "projet" (comme si Chirac était capable d'avoir des projets...) de fondation pour la diversité des cultures et le développement durable ! Autant dire une congrégation de branleurs dont le chef suprême, qui n'a pas perdu le goût des voyages en avion, passera sa fin de vie à se promener, ce qui lui permettra à la fois de continuer à se persuader qu'il a pu jouer un rôle en France et dans le monde (sinon, comment en serait-il arrivé là ?), et surtout de s'éloigner quasiment à volonté de l'insupportable chieuse qu'a toujours été Bernadette, devenue encore plus brindezingue qu'elle l'était déjà quand Jacques avait accédé à la fonction suprême après 14 ans d'attente !!! (putain de cancéreux à chapeau)
Au programme de Jacques, voyages, repas pantagruéliques noyés sous les meilleurs Grands crus, voyages, repas gargantuesques imbibés des plus fameux nectars... La routine. Avec, pour seule contrainte, l'obligation de faire semblant de s'intéresser aux Africains, sur lesquels il pensait un jour avoir fait un bon mot en parlant des "bruits" et des "odeurs" qu'ils répandaient dans les cages d'escaliers de "nos" HLM...
Rhâââaaa ! Ca va (encore) être dur pour Jacques ! Condamné, jusqu'à son dernier souffle, à faire semblant de s'intéresser au devenir de sauvages des quatre coins du globe, qui ont eu l'incorrection de troquer le pagne pour le pantalon (on regrette le bon vieux temps du Banania) ! Qu'est-ce que vous voulez... Dans la vie, on ne fait pas toujours ce qu'on veut. D'ailleurs, ironie du sort, beaucoup de Français ne font toujours pas ce qu'ils veulent, en grande partie à cause de Jacques Chirac qui s'est branlé les c... pendant 12 ans (75 en réalité, si l'on compte la durée pendant laquelle il n'aura servi à rien du tout).
Ca me fait penser... Si un jour un enfant, même un tout petit avec nez énorme et de grandes oreilles (comme qui vous savez), vous demande ce qu'il doit faire dans la vie, répondez-lui toujours : "homme politique". C'est pas fatigant et ça conduit toujours très loin. Jusqu'en Nouvelle-Calédonie, pour un obèse en formation, hargneux et qui ne sait même pas se raser comme Yves Jégo, alors vous voyez...
L'ancien président français Jacques Chirac lance lundi sa fondation
http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hX_mjo7dz0lEGGHJd_11QXm_klpA