United colors of Royal
Nouveau pas en avant (si l'on peut dire) pour Ségolène Royal, qui comme l'explique cet article du Figaro en ligne, souhaiterait en quelque sorte voir un drapeau français dans chaque famille, dans chaque maison... bientôt dans la trousse de chaque écolier ?
Non, pas immédiatement. Avant d'avoir le droit de se promener avec un drapeau dans leur trousse, les jeunes Français devront apprendre la Marseillaise, à coups de trique si nécessaire. Quant aux sportifs, en grossissant un peu le trait, on peut dire qu'ils devront connaître parfaitement l'hymne national, sinon leurs membres seront amputés ou arrachés : bras pour les tennismen, jambes pour les footballers... Ceux qui ont eu la mauvaise idée de choisir le hullahup, comme sport, pourraient bien être coupés en deux !
Il faut vraiment lire cet article pour mesurer à quel point Ségolène Royal peut parfois (souvent) être un personnage foncièrement débile, et extrêmement inquiétant, persuadée, sans doute, d'être animée par de bonnes intentions... ce qui est une circonstance aggravante.
Ségolène a vraiment un problème avec tout ce qui touche à l'intelligence ou à l'identité nationale. Quand je saluais le drapeau français tous les matins, ou quand je chantais "Loin de chez nous" en marchant au pas de la Légion, je savais ce que signifiaient les choses que je faisais. J'avais compris, par exemple, que l'on peut toujours forcer des gens à saluer un drapeau. On ne peut jamais les forcer à l'aimer. Même en leur enfonçant le canon d'un FAMAS dans la bouche. Bush, puisqu'on en parle, ne le comprendra sans doute jamais. Ségolène non plus ?
Tous ceux qui aiment le drapeau français et qui savent ce qu'il représente (pas comme Ségo) savent aussi qu'il y a beaucoup de choses, en ce monde, qui ne peuvent pas se commander.
Il y a aussi, décidément, beaucoup de candidats dans cette élection qui gagneraient à consulter un psy. "Chologue" ou "chiatre", mais un psy.
Culture générale : je précise pour mes bien-aimé(e)s lecteurs(trices) que je ne suis ni n'ai jamais été légionnaire. Ma compagnie, par contre, marchait sur l'air de "Loin de chez nous", qui est un chant de la Légion avec un pas très lent, du genre de celui que vous pouvez observer pendant le défilé du 14 juillet. Effet garanti sur les foules, qui étaient souvent admiratives, car même sans le tablier de cuir, la hache et la barbe... çà en jette ! C'est bien loin tout çà maintenant.