Sarkozy durcit le ton

En meeting devant 4.000 personnes au Palais des Sports d'Issy-les-Moulineaux (pendant que François Bayrou en rassemblait entre 15 et 17.000 au Palais Omnisports de Paris-Bercy), Nicolas Sarkozy s'en est pris au candidat centriste en le définissant comme un candidat de gauche, sans projets, avant qu'André Santini, maire de la ville et ancien partisan de François Bayrou, ne le décrive comme un candidat également sans avenir : "Il n'y aura pas une surprise mais deux" dimanche. "Le candidat de l'UDF ne sera pas au second tour et sera devancé" par le candidat du Front national Jean-Marie Le Pen.

Jean-Paul II, nouveau maître à penser de Nicolas Sarkozy au côté du Général de Gaulle, ne doit pas voir tout cela d'un très bon oeil. Et encore, nous ne sommes que mercredi !

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