Ce qui laisse le plus mauvais arrière-goût dans la bouche...
(en complément, ou réponse au commentaire laissé par GED, que je remercie, dans le sujet précédent)
C'est de voir des journalistes d'ordinaire pas aussi enclins à contribuer à bâtir de nouvelles légendes dans ce qui devient une véritable mythologie sarkozienne répéter volontairement que le petit Jean "n'a que 21 ans" (ou qu'il a vingt-et-un ans), comme si à son âge, l'imbuvable morpion était déjà en train de démontrer qu'il a toutes les "qualités" propres à en faire un grand, que dis-je, un Très Grand homme politique dans le futur ! On croit rêver !!!
Quand en plus ça se passe sur iTélé, où habituellement, même si "on n'a rien contre les gens de droite" (pléonasme discret), on ne va quand même pas jusqu'à faire briller le cuir des pompes à 2.000 euros de Jeannot le lance-flammes avec la langue, on commence à se demander si les textes lus par les journalistes du service "information" ne proviennent pas directement du bureau de Pierre Fraidenraich ou de celui de Thierry Thuillier, deux personnages (dont un, le premier, qui remplace Valérie Lecasble) sur lesquels le Poliblog ne va tarder à être tenu de mener sa petite enquête, obligé que je me sens de toujours fournir à mes lecteurs une information aussi objective que possible en fonction des informations que je trouve par différents moyens (pas toujours facile), même si cela ne saute pas toujours aux yeux des idolâtres qui s'ignorent et qui n'apprécient guère que l'on écorche leurs poulains ou leurs maîtres à penser.
Guère étonnant, en tout cas, que Jeannot se sente véritablement tout permis. Il se trouve actuellement dans une situation totalement ingérable psychologiquement pour un polisson en puissance qui aurait besoin qu'on lui pose des limites, mais le fait qu'il n'y ait personne pour le faire (et surtout pas ceux qui le devraient, à commencer par son paternel) risque d'avoir un effet désastreux sur la personnalité déjà salement esquintée du petit.
A ce train-là, il finira comme Sarkozy père. Schizophrène ou sociopathe jusqu'au bout de ses ongles manucurés, sans aucun(e) ami(e) véritable, sans personne pour le respecter vraiment et lui tenir un langage qui serait différent des autres non plus, persuadé de devoir reprendre après papa un certain rôle de messie que les Français ET les politiques devraient écraser dans son oeuf, avant de recoller les morceaux pour essayer d'en faire quelque chose de positif, d'humain et surtout de respectueux des autres. Tout ce que son père semble bien ne jamais avoir été (ou alors très jeune), est moins que jamais et ne sera jamais, vu le rythme auquel le petit Nicolas continue de multiplier les signes de l'existence, chez lui, de sévères troubles de la personnalité.
Quand on aborde ce genre de réflexions, je regrette toujours que Psychothérapeute ou d'autres professionnels de la "santé mentale" capables de sortir un instant le nez hors de leurs bouquins ne donnent que rarement leur sentiment réel sur des personnages comme Nicolas ou le prince Jean, bien loin des fellations en noir et blanc magistralement pratiquées ou bêtement rassemblées par Sylvie Pierre-Brossolette dans un numéro du Point il y a trois ou quatre semaines...
Photo : Vera Peiffer, spécialiste anglaise pas loin d'être mondialement reconnue pour ses analyses de ce genre de phénomènes (hypnothérapeute à la base) ; le genre de pros qu'on aimerait bien avoir chez nous pour ce qui me concerne, et qui pourrait sans doute nous éclairer sur la réalité des désordres psychiatriques apparents chez un certain gusse dont beaucoup ont chaque jour à subir les dérapages et les insultes (aujourd'hui mardi c'était au tour des militaires).