Sarkozy : après 20 mois de vacances, la feignasse (euh, p'tit modèle, hein) toujours pas décidée à se mettre au boulot

Mes ami(e)s, ces quelques jours passés sans bloguer m'ont permis de comprendre ce qui, de toute évidence, me dérange le plus avec Nicolas Sarkozy : qu'il le mérite ou non, en tout cas c'est la conclusion à laquelle j'ai abouti, le chef de son Etat et ancien président de son Europe (qui se prend pourtant pour le nouveau) me rappelle furieusement ces ramassis de branleurs avec lesquels j'ai essayé, toujours en pure perte, de travailler dans les plus grands groupes de France comme dans les PME les plus anecdotiques...

D'parasites ! Toujours là pour donner des leçons à tout le monde sur la manière de travailler, sur ce qui est bien et sur ce qui est de la merde en général (souvent tout ce qui s'est fait avant eux, comme avec qui vous savez), jamais là par contre pour s'atteler aux vrais boulots et aux vrais problèmes, justement ceux qui, par malchance pour nous quand on parle de m'sieur Bruni, nécessitent souvent tout autre chose qu'une énorme gueule et une minuscule paire de couilles.

C'est d'ailleurs ainsi que je voyais déjà la Feignasse, en ce début d'année 2009, où pour fuir l'énorme responsabilité qu'il porte à lui tout seul dans la destruction systématique de tout ce qui faisait une France qui ne perdait pas encore sur tous les tableaux hier, notre branleur national n'a pas hésité à aller tortiller du croupion au Moyen-Orient en chiant au passage sur les Tchèques, personne n'ayant expliqué au bas de plafond qui a trois oedèmes à chaque cheville qu'il n'était plus président de l'Europe, et qu'en France, 99,99% des gens n'ont rien à foutre des échanges de politesse entre Israéliens d'extrême-droite et Palestiniens à poils longs (ne trouve-t-on pas des tueurs de femmes et d'enfants d'un côté comme de l'autre ?)...

Mieux, n'hésitant pas (encore... pire qu'une habitude, c'est devenu un véritable TOC) à attribuer la responsabilité de tous les maux qu'il a créés à la "crise mondiale" lors de ses voeux adressés aux Franchouillards, du moins à ceux qui croient encore dur comme fer qu'un jour, l'UMP finira bien par le débarrasser de la racaille (alors que l'unique racaille qui mérite d'être karchérisée est clairement identifiée depuis des lustres, on sait même qu'on la trouve principalement dans un nombre très restreint de bâtiments de la capitale), le bon à nib que personne ne nous envie a parfaitement assumé son amour de la bulle et de la poudre aux yeux, en omettant systématiquement de rappeler dans son allocution (minable) du 31 qu'un jour, il avait poussé l'expérience du mensonge jusqu'à se poser en "président du pouvoir d'achat" et "du plein emploi" (oui oui) !

Alors "Sarkozy ? Douze balles dans la peau !", aurait certainement dit de Gaulle.

Moi, je ne dis rien. Mais j'observe quand même qu'avec cent vingt, ou même mille deux cents balles dans la peau (entre les deux yeux si possible), Nicolas Sarkozy serait exactement aussi productif qu'il l'est aujourd'hui... Persuadé de l'impérieuse nécessité de niquer enfin les juges (il les a toujours tenus en horreur, rien d'extraordinaire pour un baveux de métier...) quand les Français n'arrivent pas à boucler leurs fins de mois ; graciant l'ami Marchiani, mais laissant le méchant Coupat se faire dévorer les c... par des blattes dans une cellule ou un zazou de son espèce n'a strictement rien à faire, pour autant que l'on sache ; se promenant en brayant comme un âne, qui assène qu'on ne lui coupera ni les oreilles ni la queue et encore moins la présidence de son EuroFrance, quand plus de 40.000 Français avaient déjà perdu leur emploi au seul mois d'août dernier, c'est-à-dire avant la faillite de Lehman Brothers, qui selon sa Suffisance n'a engendré que les premières gouttelettes de la cascade d'em... qui s'abat actuellement sur nous, avec une starlette à grande gueule pour seule protection contre les assauts d'un monde bien cruel, dans lequel le militaire franchouille se réveillera bientôt équipé d'un Famas en platine (et ta soeur, espèce de baltringue...) !

"Sarkozy ? Douze balles dans la peau !"

Bon, on est d'accord, le grand Charles n'avait certes pas inventé les talonnettes (faut dire qu'il n'en avait guère besoin, et ce n'est pas le cas de tout le monde d'ailleurs on l'a encore vu au Moyen-Orient), mais quand même, il ne disait et il ne faisait pas que des conneries... Lui !